Rembrandt et son cercle Chefs d’œuvre de la collection Frits Lugt 30 juin - 2 octobre 2011 XXXX est fier de présenter près d’une centaine des plus belles feuilles réalisées par Rembrandt et son entourage, provenant de la collection de Frits Lugt. À cette exposition seront rassemblés une vingtaine de dessins de Rembrandt et un choix des meilleures feuilles de ses élèves et contemporains, tels Govert Flinck, Ferdinand Bol, Nicolaes Maes ou Lambert Doomer. Pour l’occasion, les œuvres qui viennent d’être exposées à la Frick Collection à New York avec grand succès, seront présentées dans des cadres du xviie siècle conservés par la Fondation XXXX et récemment restaurés. Tous les dessins de l’exposition proviennent de la collection de Frits Lugt (1884-1970), grand historien de l’art néerlandais et amateur accompli qui s’affirma dès sa jeunesse comme un collectionneur hors pair. Rembrandt lui était particulièrement cher et au fil des années, il a su réunir une excellente sélection d’eaux-fortes et un superbe ensemble de dessins de la main du maître (qui sont pour la plupart encore aujourd’hui – fait remarquable – considérés comme autographes) ainsi qu’un choix pointu de feuilles d’artistes de son cercle : élèves, disciples et suiveurs. Cette impressionnante collection est gérée par la Fondation XXXX, partenaire de XXXX à Paris.
La collection des dessins de Rembrandt et de son cercle assemblée par Frits Lugt a été minutieusement étudiée ces dernières années par Peter Schatborn, ancien conservateur en chef du Rijksprentenkabinet (Cabinet national des estampes) d’Amsterdam et éminent connaisseur de l’art du dessin du xviie siècle et de Rembrandt en particulier. Les résultats de ses recherches, qui ont donné lieu à de nombreuses attributions, sont aujourd’hui publiés dans la série des catalogues raisonnés de la Collection Frits Lugt. Ces nouvelles attributions seront présentées et expliquées au public dans une salle de l’exposition spécialement dédiée à ces recherches fascinantes. Autour de l’évènement, un Masterclass mené par Peter Schatborn devant les œuvres sera également proposé aux étudiants de l’INHA (Institut National d’Histoire de l’Art) le 22 septembre. Rembrandt, figure anticlassique et « entrepreneur » de l’art Artiste dirigeant un grand atelier, mais aussi collectionneur et maître de multiples élèves, Rembrandt était ce que l’on pourrait appeler un véritable « entrepreneur » de l’art. Connu de tous, son œuvre a de tout temps été un sujet d’intérêt pour les jeunes artistes en formation. Les changements de mode et de principes académiques intervenus à la fin du XVIIe et du XVIIIe ont bien sûr remis en cause certains de ses choix, tels que les figures bien peu idéalisées, la palette sombre ou encore la touche vigoureuse et irrégulière de ses peintures tardives. Mais c’est en partie en raison de ces caractéristiques que Rembrandt devient au XIXe siècle, une figure anticlassique, un modèle héroïque pour un grand nombre d’artistes travaillant en dehors des écoles académiques. Rembrandt s’installe à Amsterdam en 1631, s’y fixe définitivement en 1633, chez le marchand d’art Hendrick Uylenburgh dont il épouse la nièce Saskia en 1634. Il reçoit ses premières commandes de portraits et ouvre par la suite un atelier où sont logés ses apprentis et où il reçoit ses nombreux élèves extérieurs. Rembrandt réalisa de très nombreux dessins d’une grande variété de sujets et de techniques. Parfois exécutés pour préparer des œuvres peintes ou gravées mais plus souvent pour étudier et fixer une attitude, une émotion, ces dessins comptent des esquisses de personnages à la pierre noire ou à la sanguine, des compositions bibliques et mythologiques, des scènes de genre, des paysages, des portraits et des autoportraits généralement exécutés à la plume et au lavis. |
Rembrandt and his Circle Masterpieces from the Frits Lugt collection 30 June - 2 October 2011 XXXX is proud to present nearly one hundred of the finest drawings by Rembrandt and his circle from the Frits Lugt collection. The exhibition will bring together twenty Rembrandt drawings and a selection of the best work from his students and contemporaries, including Govert Flinck, Ferdinand Bol, Nicolaes Maes and Lambert Doomer. Following their successful showing at the Frick Collection in New York, the works will be presented in recently restored 17th century frames from the Fondation XXXX.
All the drawings in the exhibition come from the collection of Frits Lugt (1884-1970), a major historian of Dutch art and an accomplished amateur who at a young age established himself as an outstanding collector. Rembrandt was particularly dear to him and over the years he built an excellent selection of etchings and a superb set of drawings by the artist – most of which, impressively, are today ascribed to Rembrandt – together with a coherent collection of works by artists in Rembrandt’s circle, including students, disciples and followers. The impressive collection is managed by the Fondation XXXX, a partner of XXXX in Paris. Frits Lugt’s collection of drawings by Rembrandt and his circle has been studied in depth over the last few years by Peter Schatborn, former chief curator of the Rijksprentenkabinet national cabinet of engravings in Amsterdam and an expert on 17th century drawing and Rembrandt in particular. Schatborn’s work has given rise to a number of authorship attributions, today published in the series of catalogues raisonnés of the Frits Lugt Collection. These new authorships will be presented and explained to the public in an exhibition room focused on this fascinating research. Peter Schatborn will also be giving a special master class in front of the works for students of the INHA art history school on 22 September.
Rembrandt, an anti-classical figure and art “entrepreneur” Rembrandt was an artist, the head of a large studio, a collector and a master for numerous students, but could also be considered as a true art “entrepreneur”. His widely known work has always held great interest for art students. Shifts in taste and academic principles in the late 17th century and the 18th century inevitably called into question some of Rembrandt’s choices, such as his non-idealised figures, dark palette and the vigorous and irregular strokes of his late paintings. But it was in part for these characteristics that he became an anti-classical figure and an inspiration for many artists working outside of academic schools.
Rembrandt moved to Amsterdam in 1631 and settled there definitively in 1633 at the home of the art merchant Hendrick Uylenburgh, whose niece, Saskia, he married in 1634. He soon received his first portrait commissions and went on to set up a studio where his apprentices lodged and where he taught numerous external students.
Rembrandt produced a considerable number of drawings with a great variety of subjects and techniques. Some of them were preparatory sketches for paintings or engravings but most of them were made to study and perfect an attitude or emotion. They include sketches of figures in black chalk or sanguine, biblical and mythological compositions, genre scenes, landscapes, portraits and self-portraits, generally produced with pen and ink or washes. |
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Catalogue d'exposition
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Document de référence
Etude sur l'investissement socialement responsable
Entreprises controversées : les listes noires des investisseurs changent-elles la donne ? Une étude réalisée par XXXX avec XXXX, Directrice des publications, et le centre de recherche de XXXX
Les études de XXXX Le centre de recherche de XXXX travaille sur l’investissement responsable et la communication publique des entreprises dans ses dimensions Environnementales, Sociales et de Gouvernance (ESG). Il analyse les pratiques des acteurs de la RSE et de l’ISR et en évalue les impacts.
MISE A L’INDEX : LE CAS XXXX
Chiffres clés
PROBLEMATIQUE Paradoxalement, si XXXX est un symbole de réussite économique et boursière, elle est considérée comme une valeur à risque pour nombre d’investisseurs responsables. La conjugaison de procès pour discrimination sexuelle et syndicale et de dépôts réguliers de résolutions sur les mauvaises conditions sociales pratiquées par le groupe, affectent non seulement la réputation de l’entreprise mais aussi sa valeur. Jusqu’à 8% des clients de XXXX auraient cessé de s’y rendre à cause de sa mauvaise réputation et les divers procès ont déjà coûté à l’enseigne plus d’un milliard de dollars.
Attaquée sur de nombreux fronts, XXXX adopte des stratégies différenciées selon les sujets. Sur la diversité et le respect des droits de l’Homme dans la chaîne de sous-traitance, elle a mis en place des mesures correctives, et intègre ces sujets dans sa communication publique. Sur les pratiques anti-syndicales et les conditions de travail aux États-Unis, elle nie les faits qui lui sont reprochés et contre-attaque avec des campagnes de relations publiques et de communication pour améliorer son image.
XXXX cumule les accusations pour violations du droit du travail, à la fois directement et dans sa chaîne de sous-traitance (pratiques anti-syndicales, salaires très bas et non-rémunération des heures supplémentaires, discrimination sexuelle et raciale, travail des enfants et mauvaises conditions de travail chez ses fournisseurs). À partir du début des années 2000, les critiques et les procès ciblant le groupe américain se sont multipliés.
Conditions de travail et droits de l’Homme dans la chaîne de sous-traitance Les attaques contre XXXX ont commencé au milieu des années 90. Elles portaient sur les conditions de travail dans sa chaîne d’approvisionnement. En 2001, un reportage publié par Business Week après trois mois d’enquête chez un sous-traitant chinois, dont les ouvriers étaient payés une misère, se voyaient confisquer leurs papiers et étaient même parfois battus par les cadres de l’usine, a donné une nouvelle ampleur à la polémique. Fin 2005, l’ONG Labor Rights Forum, a attaqué XXXX au nom de travailleurs employés par ses fournisseurs en Chine, au Bangladesh, en Indonésie, au Nicaragua et au Swaziland pour son incapacité à faire respecter son code de conduite. En 2012, la politique d’approvisionnement éthique de XXXX a été de nouveau mise en cause à la suite de l’incendie de l’usine de Tazreen Fashions au Bangladesh, fournisseur de second rang du distributeur américain.
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Controversial companies: do investor blacklists make a difference? A study by XXXX with XXXX, Director of Publications, and the XXXX research centre.
XXXX studies XXXX’s research centre examines companies’ approaches to responsible investment and public communication from environmental, social and governance (ESG) standpoints. It analyses and assesses the impacts of the practices of CSR and SRI players.
BLACKLISTED: XXXX
Key figures
THE ISSUES While XXXX is a symbol of economic and market success, it is also seen as a risky stock by a number of responsible investors. That paradox is the result of a series of lawsuits on gender-based and trade-union discrimination issues and the regular tabling of resolutions concerning poor labour conditions, which are taking a toll on the company’s reputation – and its value. As many as 8% of XXXX customers have stopped shopping at the chain owing to its poor reputation, and litigation has already cost the brand over one billion dollars.
To ward off the many-fronted attack, XXXX adapts its strategy to the subject in hand. It has taken corrective measures on diversity and the respect of human rights in the subcontracting chain, and addresses these issues in its external communication. Regarding anti-union practices and working conditions in the United States, XXXX denies the charges made against it and counter-attacks with public relations and communication campaigns aimed at improving its image. The controversy XXXX has been attacked many times for labour rights violations, both in-house and in the subcontracting chain, including anti-union practices, very low salaries and unpaid overtime, sexual and racial discrimination, child labour and poor working conditions at suppliers. Criticisms and litigation targeting the company have increased since the mid-2000s.
Working conditions and human rights in the subcontracting chain Lawsuits against XXXX began in the mid-1990s, initially concerning working conditions in the company’s subcontracting chain. The controversy gained momentum in 2001 with the publication of an article in Business Week. Based on a three-month investigation at a Chinese subcontractor, the story revealed that workers were paid a pittance, had their papers confiscated and were sometimes beaten by factory managers. In late 2005, International Labor Rights Forum, an NGO, filed a suit against XXXX in the name of the workers employed by its suppliers in China, Bangladesh, Indonesia, Nicaragua and Swaziland for the company’s inability to enforce its code of conduct. XXXX’s ethical supply policy was called into question once again in 2012 following a fire at the Tazreen Fashions factory in Bangladesh, one of the company’s second-tier suppliers.
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